Les technologies numériques sont désormais reconnues comme essentielles au développement économique et social.
Dès lors, la numérisation apparaît comme un besoin absolu pour tous les pays et toutes les entreprises.
Elle est également considérée comme un moyen de réduire la consommation d’énergie dans de nombreux secteurs.
Cependant, les impacts environnementaux directs et indirects (effets de rebond) liés à l'utilisation croissante des ICT sont constamment sous-estimés.
Quelles sont les solutions pour construire de manière plus sobre et intelligente ?
Comment les projets architecturaux et urbains dans une optique de renouvellement urbain et dans des contextes vulnérables (comme dans le désert par exemple), peuvent-ils intégrer le numérique de manière pertinente ?
Quels sont les facteurs à retenir dans la conception d’un projet de renouvellement urbain ou en présence de vulnérabilités (climat, dégradation urbaine et sociale, etc..), afin d’optimiser l’apport des ICT (comportement des usagers vis-à-vis de la consommation d’énergie par exemple) ?
De plus en plus de projets d’architecture (comme le Bois vertical de Stefano Boeri par exemple) prennent en compte une double dimension : environnementale et numérique. La conception de fermes urbaines, de projets englobant l’agriculture urbaine peuvent aussi illustrer ces démarches- Enseignant.e: Eric L'Helguen