Androgynie, changement de sexe, travestissement, pseudonyme… Nous réfléchirons à la manière dont, bien avant les questionnements actuels et les études qu’ils induisent, l’art s’est emparé du dimorphisme biologique et culturel qui fonde les sociétés humaines, opposant ou posant la complémentarité du masculin et du féminin, et en a exploré le potentiel créateur à travers un certain nombre de modalités et de dispositifs qui, permettant le passage du masculin au féminin ou inversement, témoignent de la labilité du genre social.