Dans le cadre de ce séminaire, notre attention portera sur les enregistrements discographiques d’œuvres profanes du Moyen Âge (XIIe–XVe siècles). L’objectif n’est pas d’établir une sélection des meilleures versions historiquement informées mais d’observer tous les modes d’interprétations qui donnent son aux signes muets couchés dans les manuscrits.